L' Institut Pascal Campellone est implanté dans le centre-ville de Meaux, juste en face de la mairie.
L'idéal est de prendre connaissance des différentes possibilités qui s'offrent à vous avant que votre chimiothérapie ne commence. Cette démarche vous permettra de vivre au mieux ce changement et vous mettra en confiance durant cette phase qu'est la perte de cheveux. Nous vous accompagnons dans cette étape de transition en vous apportant les meilleurs conseils dont vous avez besoin !
La chimiothérapie agit sur les cellules qui se divisent, car les cellules cancéreuses ont tendance à se diviser plus que les autres. Celles du bulbe pileux se divisent également beaucoup, ce qui entraîne souvent leur destruction en cas de chimiothérapie et entraîne la chute des cheveux et de tous les poils (dont les sourcils et les cils). Cette chute porte le nom d' alopécie : elle est temporaire, les cheveux et les poils repoussant à l'arrêt du traitement. La chute de cheveux commence généralement deux à trois semaines après le début de la chimiothérapie, mais parfois dès la première séance. Les cheveux tombent au cours des chimiothérapies successives et la chute peut être brutale ou espacée suivant le type de molécules utilisées et les doses administrées. Les cils et les sourcils tombent généralement un peu après les cheveux.
Certains patients ressentent des démangeaisons, des picotements au niveau du cuir chevelu, juste avant et au moment de la chute.
Trois éléments entrent en ligne de compte :
- certaines des molécules administrées à petites doses entraînent moins la chute des cheveux.
- certaines personnes ont une nature de cheveux plus résistante.
Votre médecin pourra vous renseigner sur le type de molécule et le traitement qui vous est, ou sera, administré et si ce dernier entraîne la perte des cheveux et des poils.
Oui, car la chute des cheveux due à la chimiothérapie est temporaire. Les cheveux repoussent à la fin des traitements, à raison d'environ un centimètre par mois. Certains éléments peuvent différer cette repousse, notamment la prise de corticoïdes à haute dose, l'hormonothérapie, ou encore la prise d'interféron. Par ailleurs, une radiothérapie sur la zone du cuir chevelu peut entraîner une alopécie irréversible. Les cas de repousse différée ou de non-repousse restent cependant très rares.
Certaines personnes se rasent elles-mêmes la tête, d'autres le demandent à un proche. Il apparaît cependant préférable d'avoir recours à un professionnel coiffeur ou prothésiste capillaire au moment de l'achat d'une perruque (dans ce dernier cas, l'intervention est gratuite et effectuée en cabine privée à l'abri des regards ).
Contactez l'Institut Pascal Campellone, entreprise agréée par la Sécurité Sociale et faites appel à nous pour vos besoins en perruques ou compléments capillaires .